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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 14:08

 

1/ Ecrivez les phrases suivantes au passé simple :

 

La prairie avait sa fourrure de foin mûr.


Les marguerites par place effaçaient le vert blondissant des tiges et des graines.


Les boutons d’or, les trèfles mauves faisaient des tâches.

 

 

 

 

 

 

2/ Ecrivez la phrase suivante au passé composé :

 

La prairie vibrait du bruit aigre des faucheuses qui dévidaient leurs engrenages.

 

 

 

 

 

 

3/ Nature et fonction de «sa» (1ère phrase) et de «son» (2ème phrase) :

 

Le faucheur s’arrêta pour respirer un peu et il s’appuya sur le manche de sa faux.


La sueur ruisselait sur son front.

 

 

 

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 14:05


 

Etudiez

 

 

Si je pouvais, j’aurais une faucheuse et je serais moins fatigué


Si tu pouvais, tu aurais une faucheuse et tu serais moins fatigué


S’il pouvait, il aurait une faucheuse et il serait moins fatigué

 

Si nous pouvions, nous aurions une faucheuse

et nous serions moins fatigués


Si vous pouviez, vous auriez une faucheuse

et vous seriez moins fatigués


S’ils pouvaient, ils auraient une faucheuse

et ils seraient moins fatigués

 


 

 

 

Appliquez

 

1/ Conjuguez au Présent du Conditionnel :

Si j’allais au prés, j’aurais soif.

.......

 

 

2/ Conjuguez au Présent du Conditionnel :

Si je fauchais, je serais bien fatigué.

......

 

 

3/ Conjuguez au futur :

J’irai au pré s’il fait beau.

......

 

4/ Conjuguez au futur :

J’achèterai une faucheuse si j’en avais besoin.

...........


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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 13:58


 

Révisez

 

 

1/ Un bruit aigre et lointain.

 

Les mots aigre et lointain sont des adjectifs parce qu’ils se rapportent au nom bruit.

Ce sont des adjectifs qualificatifs parce qu’ils disent les qualités du bruit.

 


 

 

2/ Ce pré ; cette vieille.

 

Les mots «ce» et «cette» sont des adjectifs parce qu’ils se rapportent aux noms «pré» et «veille». Ce sont des adjectifs démonstratifs parce qu’ils servent à montrer le pré et la veille.

 


 

 

3/ Mon foin ; ta faucheuse.

 

Les mots «mon» et «ta» sont des adjectifs parce qu’ils se rapportent aux noms foin et faucheuse. Ce sont des adjectifs possessifs parce qu’ils disent le possesseur du foin, le possesseur de la faucheuse.

 


 

 

4/ Ce bruit lointain, ces cloches lointaines

 

L’adjectif s’accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte.

 

 

 

 

 

 

 

 

Retenez

 

L’adjectif est un mot qui s’ajoute au nom.

Il y a des adjectifs qualificatifs, des adjectifs possessifs, des adjectifs démonstratifs.

 

 

L’adjectif s’accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte.

 

 

 

 

 

 

 

 

Appliquez

 

 

1/ Nature et fonction des adjectifs :

 

La  prairie était tondue.

Un bruit aigre.

Ce tas de foin.

M faux.

Ce faucheur courageux.

Ses reins sont solides.

Sa faux est coupante.

Cette grande ombre.

Ces fleurs odorantes.
Ses genoux ployés.

Un mouvement égal et cadencé.

 


 

 

2/ Accordez les adjectifs 

 

Un pré tondu, des prés...... ; une prairie......, des prairies......


Un grand pré, des.......... près ; une.......... prairie, des.......... prairie.

 

Un foin odorant, une herbe........, des foins........., des herbes.........

 

Cet homme, ........ vieille, ........ hommes, ........... vieilles.

 

Mon foin, ........ prairie, .........prairies, ......... foins.

 

Leur faucheuse, ..........faucheuses, .......... outil, ......... outils.

 

 

 

 

 

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 12:52

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 La fenaison

 


La prairie, par endroits, était tondue comme une pelouse. Elle vibrait du bruit aigre et lointain des faucheuses dévidant leurs engrenages. Les tas de foin amoncelés projetaient de grandes ombres. A d’autres places, les foins prêts à être fauchés, remplis de fleurs, s’étalaient sous une nappe de lumière où tourbillonnaient des vols de moucherons.

 

Dans un grand pré qui descendait en pente vers la rivière, un homme fauchait : campé d’aplomb sur ses reins solides et sur ses genoux ployés, son buste allait et venait de droite à gauche, d’un mouvement égal et cadencé, tandis que la faux coupante passait dans l’herbe dure.

 

Il s’arrêta pour respirer un peu et il s’appuya sur le manche de sa faux. La sueur ruisselait à flots de son front. Il prit un baril de chêne caché dans une touffe d’herbe, et il but longuement, la tête renversée en arrière. Le col de sa chemise, entrouvert, laissait voir son gosier qui montait et descendait. Il souffla bruyamment.

 

Alors, une vieille qui fanait à l’autre bout du pré avec une jeune fille lui dit d’une voix aigüe :

 

- Vous aurez bien fini à vous deux. Moi, je vais faire la soupe.

 

 

E. Moselly (Jean des Brebis ou le  Livre de la Misère)

 

 

 

 

 

 

Parlez 

 

 

1/ Où était-on ?

Regardons la prairie : par endroits.... .

Ecoutons.... . Regardons plus loin : les tas de foin....

 

 

2/ Un homme : où ? 

Que faisait-il ?

Comment se tenait-il ? (campé d’aplomb.... )

Que faisait son buste ?

Et sa faux coupante ?

Répétez.

 

 

3/ Il s’arrêta... Pourquoi ? Où s’appuya-t-il ?

Il prit quoi ? Et que fit-il ?

Regardez sa tête, le col de sa chemise..... Répétez.

 

 

4/ Alors, une vieille....

Que faisait-elle ? Où ? Avec qui ? Dites ce qu’elle dit.

 

 

 

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 12:31

 

 

 


 

La prairie

 

La prairie avait sa fourrure de foin mûr où les marguerites, par places, effaçaient le vert blondissant des tiges et des graines. Ailleurs, les boutons d’or, les trèfles mauves faisaient des tâches. Chaque pas rompait des herbes enlacées. Le vent faisait naître des reflets comme il en court sur le dos des grandes lames.

 

Hervé Bazin (De toute son âme)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Etudiez les mots

 

1/ Remarquez l’orthographe de pré et de prairie.

 

 

2/ Pourquoi dit-on que le foin mûr faisait comme une fourrure ?

 

 

3/ Remarquez l’orthographe de tige.

Blondissant vient de blond. 

Blondir, c’est devenir blond.

Pourquoi le vert des tiges et des gaines blondit-il ?

 

 

4/ Remarquez que, dans les boutons d’or, le mot «or» reste au singulier : ce sont des boutons en or.

Remarquez l’orthographe de mauve.

 

 

5/ Rompre, c’est briser ; ce qui est brisé est rompu.

Enlacer fait penser à un lacet. 

Qu’est-ce que des herbes enlacées ?

 

 

 

 

 

 

Ecrivez les mots

 

blondir, rompre

 

un pré, une prairie, une fourrure, une tige, les boutons d’or, un lacet, un reflet, une lame

 

blond, blondissant, mauve, enlacé

 

 

 

 

 

Employez les mots

 

1/ Mettez le mot convenable : blondir, mauve, bouton, lame

 

 


 

A l’été, les blés mûrissent ; ils cessent d’être verts, ils.......
Les ......... s’appellent ainsi parce que ce sont des fleurs rondes et d’un jaune qui brille comme l’or.

Le trèfle...... est celui qui a des fleurs d’une couleur qui fait penser à celle des lilas.
Quand vous irez à la mer, vous vous méfierez des.........

 

 

2/ Faites une phrase avec chaque mot : lacet, rompre, reflet

 


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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 09:58


 

 

Observez

 

1/ Une vibration, l’auscultation, l’éclosion.

 

Dans les mots en «tion», le «t» a le son de «s».

 

Dans l’éclosion, «s» a le son «ze».

 

 

 

 

2/ Une laitue, un fruit charnu.

 

Les noms féminins terminés par le son «u» s’écrivent avec «ue».

 

Il ne faut pas les confondre avec les adjectifs en «u».

 

 

 

 

3/ Un rail, de la ferraille.

 

Les noms féminins en «aille» s’écrivent avec deux «l» et un «e».

 

 

 

 

4/ Le pêcheur est derrière ces saules ; il reviendra avec ses poissons.

 

Il ne faut pas confondre «ces», adjectif démonstratif, avec «ses» adjectif possessif.

 

 

 

 

 

Appliquez

 

1/ Copiez :

 

l’administration

une opération

une addition

une soustraction

une multiplication

une hésitation

des félicitations

la satisfaction

une exagération

une division

l’éclosion

 

 

 

2/ Copiez

 

la laitue

une avenue

J’attends sa venue.

Je vais à la revue.

La pêche à la morue.

Un clocher pointu.

Une vieillard barbu.

Un enfant têtu.

Il a été mis en retenue.

La charrue.

 

 

 

3/ Copiez 

 

Le bétail

un portail

un éventail

une muraille

des broussailles

les semailles

de la paille

un épouvantail

le travail

le soupirail

le gouvernail

la bataille

la marmaille

 

 

 

4/ Ecrivez «ses» ou «ces»

 

Voyez cette campagne,..... près et....... bois.

Mon père y est avec sa charrette et....... chevaux.

Le pêcheur, lui, est à l’étang, avec la gaule et....... lignes.

Il est là-bas, à côté de ........ arbres.

 

 

 

5/ Nature et fonction des «ses» et des «ces» de l’exercice 4/.

 

 

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 09:52


 

 

 

 

1/ Mettez les deux phrases suivantes au passé simple.


 

Les couleurs blanches, roses et violettes des reines-marguerites éclataient dans l’épais massif, comme une musique joyeuse.

 

Les géraniums faisaient flamber leurs fleurs d’un rouge feu.

 

 

 

 

 

 

2/ Mettez la phrase suivante à tous les temps que vous connaissez.

 

Elle aime les fleurs.

 

 

 

 

 

3/ Faites la liste des verbes qui sont à l’impératif :

 

Vois comme les lilas ont grandi. Lève tes mains, abaisse leurs grappes et respire leurs fleurs. Reconnais les violettes que tu vois dans l’herbe et porte leur parfum à tes narines. Vois les primevères, les jeannettes jaunes. L’iris dort dans son cornet ; la pivoine a percé la terre et la giroflée a devancé la tulipe.

 

Colette.

 

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 09:32


 

Etudiez 

 

 

A quatre heures, je vins au jardin

tu vins au jardin

il vint au jardin

elle vint au jardin

 

A quatre heures, nous vînmes au jardin

vous vîntes au jardin

ils vinrent au jardin

elles vinrent au jardin

 

 

 

 

Appliquez

 

 

1/ Conjuguez au passé simple :

 

Je revins du jardin avec un bouquet.

......

 

 

2/ Conjuguez au passé simple :

 

Je tins à cueillir un bouquet.

....

 

 

3/ Conjuguez au passé simple :

 

J’eus envie d’un bouquet et j’allai au jardin.

.....

 

 

 

4/ Conjuguez au passé simple :

 

Je fis une gerbe et je la tins dans mes bras.

.....

 

 

 

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 09:20


 

 

 

Révisez

 

1/ Nicolas - le chien - un géranium.

 

Nicolas est un nom de personne.

Chien est un nom d’animal.

Géranium est un nom de chose.

 

 

 

2/ Un garçon - Nicolas.

 

Garçon est un nom commun de personne.

Nicolas est un nom propre de personne.

 

 

 

3/ Nicolas - Tom - La France


 

Les noms propres sont la propriété d’une personne, d’un animal,

d’une chose.

Ils commencent par une majuscule.

 

 

 

 

4/Une corbeille - Des grands fuchsias.

 

Corbeille est un nom féminin singulier.

Fuchsias est un nom masculin pluriel.

 

 

 

 

 

 

Retenez


 

Le nom est un mot qui sert à nommer une personne, un animal ou une chose.

 

 

7xhtfb0k

 

 

 

Le nom commun est un nom qui est commun à toutes les personnes, tous les animaux, toutes les choses de la même espèce.


 

7xhtfb0k

 

 

 

Le nom propre est celui qui est la propriété d’une personne, d’un animal ou d’une chose.

 

 

 

 

 

 

 

Appliquez

 

1/ Copiez le texte :

 

«Un jardinet rustique» et soulignez les noms.

 

 

 

2/ Faites la liste des noms que vous trouverez dans le texte ci-dessus

"Nicolas et Nicolette font un bouquet".

 

 

 

 

3/ Soulignez d’un trait les noms, de deux traits les verbes :

 

Vois comme les lilas grandissent.


Tu respireras leurs fleurs.


Tu lèveras tes mains pour abaisser leurs grappes.


Tu reconnaîtras les violettes, que tu verras dans l’herbe ; tu porteras leur parfum à tes narines.


Tu verras les primevères, des jeannettes jaunes.


L’iris dort, la pivoine perce la terre.


La giroflée brune devance la tulipe.


Le muguet arrondit ses perles.

 

Colette (Les vrilles de la vigne)

 

 

 

 

 

 

4/ Même exercice que le 3/ :

 

J’aimais les fleurs pour la variété et la douceur de leurs teintes. L’éclosion des lilas était pour moi la grande date de l’année. Je guettais celle des muguets, des coucous et des coquelicots. Je fêtais nos fleurs rustiques : les jacinthes, les tulipes, les roses, les fuchsias.

 

Louis Bertrand (Sur la route du Sud)

 

 

 

 

 

 

 

5/ Nature et fonction des nom de l’exercice 3/ :

 

exemple :

 

lilas : nom commun, masculin pluriel, sujet de grandissent.

 

 

 

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 09:11

 

 

 

Nicolas et Nicolette font un bouquet

 

 

Nicola et Nicolette allèrent jusqu’à l’allée. Là, ils trouvèrent le père François.

 

- Si j’étais à votre place, dit le père François, je cueillerais des fleurs pour votre maman.

 

- C’est cela, s’écria Nicolette. Je vais faire un bouquet pou maman ! Elle le mettra dans un vase, sur la table.

     

    - J’en ferai aussi, dit Nicolas. Et il sera plus gros que le tien.

       

      - Nous verrons bien ! Je ferai un bouquet qui sera gros comme une tête d’âne.

         

        - Eh bien, tu vas voir ! s’écria Nicolas. Je vais arracher au grand cerisier fleuri et je le porterai à maman.

           

          Nicolette éclaté de rire :

           

          - Maman n’a pas de vase assez grand pour y mettre un cerisier ! Que tu es sot, mon pauvre Nicolas ! On ne peut pas causer sérieusement avec toi !

             

            Les deux enfants se mirent à cueillir des fleurs pour leur maman. D’abord, ils cueillaient tout ce qu’ils trouvaient. Mais le père François dit :

             

            - Les fleurs ne manquent pas ! Prenez le temps de choisir ; ne cueillez que les plus belles.

               

              Les deux enfants continuèrent la cueillette chacun de leur côté. Et, quand ils eurent assez de fleurs, ils s’assirent sous un chêne pour préparer un bouquet.

               

              E. Pérochon (Nicolas et Nicolette)

               

               

               

               

               

               

              Parlez

               

              1/ Où Nicolas et Nicolette allèrent-ils ?

              Là, qui trouvèrent-ils ?

              Dites ce que dit le père François.

               

               

              2/ Essayez de répéter et de mimer la discussion entre Nicolas et Nicolette : «C’est cela... / J’en ferai un aussi..... / Nous verrons bien..... / ....... un grand cerisier fleuri.... / .... Que tu es sot.....

               

               

              3/ Les deux enfants se mirent à cueillir ......

              Que cueillaient-ils ?


               

              4/ Que dit le père François ?

               

               

              5/ Finissez l’histoire.

               

               

              6/ Avez-vous déjà cueilli des fleurs au bois, ou dans les près ? Racontez.

               

               

               

               

               

               

               

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