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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 15:06

 

 

 

1/ Dans le texte suivant, cherchez un adjectif qualificatif, écrivez-le. 

Indiquez sa fonction (épithète ou attribut, de quel nom)

 

 

Il souffle un vent de tempête qui se jette contre les portes et les fenêtres. Il les secoue comme s’il voulait entrer de force dans la maison. Un sifflement rageur tourne autour de la ferme et s’en va vers la forêt.

 

 

 

 

 

 

2/ Ecrivez les deux premières phrases du texte suivant en mettant «les bourrasques»

 

 

La bourrasque agite la forêt.  Elle brise des branches, elle déracine des arbres, elle plie tout sur son passage. Dans le village, elle fait claquer les volets. Des ardoises tombent. Les maisons tiennent bon mais ce fracas me fait peur.

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 15:04


 

 

 

 

Verbe VENIR

 

 

 

je viens

tu viens

il vient

elle vient

 

nous venons

vous venez

ils viennent

elles viennent

 

 

 

APPLIQUEZ

 

1/ Conjuguez au Présent :

 

Je viens dans la brume.

 

Tu........ dans la brume

 

Il...... Nous..... Vous.... Ils......

 

 

 

 

2/ Conjuguez au Présent :

 

Je monte l’escalier et je parviens au grenier.

 

Tu...... Il...... Nous..... Vous.... Ils......

 

 

 

 

3/ Conjuguez au Présent les verbes :

 

aller - venir - faire - tenir


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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 15:01


 

 

ETUDIEZ

 

 

1/ Un épicier - une épicière

Le boulanger - la boulangère

 

Par quoi se terminent les noms masculins ? et les noms féminins ?

 

 

 

 

2/ Un danseur - une danseuse

Un paresseux - une paresseuse

 

 

Par quoi se terminent les noms masculins ? et les noms féminins ?

 

 

 

 

3/ Un directeur - une directrice

 

Par quoi se termine le nom masculin ? et le nom féminin ?

 

 

 

 

4/ Un paysan - une paysanne 

Un chat - une chatte

 

Le nom masculin contient un «n» - un «t»

Le nom féminin en contient deux.

 

 

 

 

 

Les noms terminés par «er» forment leur féminin en «ère»

 

exemple : un épicier - une épicière

 

 

 

 

 

Les noms terminés par «eur» forment leur féminin en «euse»

 

exemple : un danseur - une danseuse

 

 

 

 

 

Les noms terminés par «teur» forment quelquefois

leur féminin en «trice»

 

exemple : un directeur - une directrice

 

 

 

 

 

Certains noms doublent leur consonne finale

avant de prendre un «e» muet

 

exemple : un paysan - une paysanne

 

 

 

 

 

 

 

APPLIQUEZ

 

1/ Mettez les noms suivants au féminin :

 

un boudeur

un voleur

un ouvrier

un étranger

un blanchisseur

le vendeur

le coiffeur

un boulanger

l’étranger

un dompteur

un boîteux

le vacher

 

un lecteur

un cultivateur

un aviateur

un jongleur

le fermier

un balayeur

l’inspecteur

un acteur

un malheureux

le danseur

un bienfaiteur

le chanteur

 

un chat

le gardien

le chien

un lion

un Parisien

le patron

un musicien

le poulet

un explorateur

un Italien

le brodeur

le laitier

 

 

 

 

2/ Donnez le masculin des mots suivants :

 

l’hôtelière

une institutrice

une négociante

Lucienne

la vendangeuse

une luronne

la bouchère

une Espagnole

 

Jeanne

la porteuse

une chienne

la paysanne

la filleule

l’ouvrière

la chanteuse

une lectrice

la laitière

 

 

 

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 14:50

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Les caprices du vent

 

 

Grimpé sur le toit, le vent siffle comme un couvreur. Par moment, il se penche sur la cheminée et fait «Hou ! hou!» dans le tuyau pour me faire peur, ou bien, prenant les volets à deux mains, il les secoue à les arracher.

 

Mais il peut mugir, hurler, se plaindre, il ne m’effraie pas. C’est drôle, je ne puis pas le prendre au sérieux ; il a beau crier, je me mords les lèvres pour ne pas rire. Le vent, pour moi, c’est une sorte d’ivrogne plus braillard que méchant, qui court droit devant lui, sans savoir où il va, ployant les arbres, brisant les branches, décoiffant les maisons.

 

Parfois, je le vois qui flâne sous ma fenêtre. Il n’a rien à faire, il sifflote, il soupire, il s’ennuie. Et, brusquement, il se sauve comme un fou.

 

Il court sur la route, pour chasser la poussière en tourbillon ou rattraper une feuille qui se sauve. S’il trouve une fenêtre ouverte, il bondit dans la maison, traverse les pièces en courant, renverse tout ce qu’il touche, emporte les papiers.

 

Parfois, il devient furieux. Il s’essouffle, secoue les fenêtres, souffle sous la porte : il ne peut pas entrer. Alors, pris de rage, il fait la charge dans les rues, décoiffe les hommes, enlève les bâches, brise les pots de fleurs. Puis, sans savoir pourquoi, bêtement, il s’arrête.

 

Roland Dorgelès (Contes inédits)

 

 

 

 

 

 

PARLEZ

 

1/ Le vent est grimpé sur le toit. Que fait-il ?...... La cheminé ?.......Les volets ?.....

Relisez et répétez le premier paragraphe.

 

 

 

2/ Troisième paragraphe «Parfois,.je le vois...» : retenez les verbes : il flâne, il sifflote....

Où flâne-t-il ? Répétez.

Et brusquement que fait-il ? 


 

 

3/ Sur la route que fait-il ? Pourquoi court-il ?

 

 

 

 

4/ Quatrième paragraphe : «S’il trouve une fenêtre ouverte.....»

Où bondit-il ?

Que renverse-t-il ?

Qu’emporte-il ?

Répétez.

 

 

 

 

5/ Cinquième paragraphe  «Parfois, il devient furieux».....

 

Retenez les verbes de la première phrase.

Répétez-là.

 

Faites de même pour la deuxième phrase.

 

Finissez l’histoire.


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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 14:47


 

 

La bourrasque


 

Une folle bourrasque éclate, un soir, pendant le changement de marée. Personne n’a prévu la violence des rafales qui se déchaînent sur l’île. Le vent se plaque contre l’île, heurte la dune de ses coups massifs. Ne rencontrant aucun obstacle, le vent, d’un simple souffle, balaie l’île.

 

H. Queffélec (Un recteur de l’Ile de Sein)

 

 

 

 

 

 

ETUDIEZ LES MOTS

 

1/ Une bourrasque est un vent violent et de peu de durée ; une rafale est une courte bourrasque ; une tempête est un mauvais temps accompagné de pluie et de vent ; l’ouragan est une tempête, avec des tourbillons de vent opposés. La bise est le vent du nord.

 

 

2/ La violence est une force mêlée de colère. Qu’est-ce qu’un vent violent ?

 

 

3/ Dans déchaîner, il y a chaîne. Une rafale qui se déchaîne, c’est une rafale qui se précipite avec fureur, comme un mauvais chien qui n’aurait plus de chaîne pour le retenir. On peut dire aussi que la rafale s’élance : s’élancer c’est se lancer en avant.

 

 

4/ Se plaquer contre quelque chose, c’est s’appliquer contre cette chose : pourquoi dit-on que le vent se plaque contre l’île ? On pourrait dire aussi que le vent s’abat sur l’île ; est-ce tout à fait la même chose ?

 

 

5/ Massif veut dire pesant et lourd. Quel est le contraire de massif ?

 

 

 

ECRIVEZ LES MOTS

 

se déchaîner

s’élancer

se plaquer

s’abattre

 

une bourrasque

une rafale

une tempête

un ouragan

la bise

 

violent

massif 

léger

 

 

 

 

 

EMPLOYEZ LES MOTS

 

1/ Mettez le mot convenable : ouragan - tempête - rafale - bise

 

 

Le vent souffle avec furie et cela dure toute la nuit : c’est une...........

Des coups de vent s’élancent par moments et emportent les feuilles mortes ; ce sont des............. 

Un vent violent tourbillonne, arrache des arbres ; c’est un.......

Un vent glacé vient du nord : c’est la ..........

 

 

 

2/ Faites une phrase avec chaque mot : se déchaîner, se plaquer, aérien.

 

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 10:36


 

 

L’herbe jaunie pourrit sous les flaques.

 

 

Analysez

 

Cherchez le verbe. Cherchez le sujet.

 

Cherchez le complément. Est-ce un complément direct ou indirect ? Pourquoi ?

 

L’herbe jaunie pourrit ? Sous les flaques.

 

La préposition est sous. On pourrait répondre avec d’autres prépositions : dans les prés, sur le sol.

 

 

 

 

Exercices

 

1/ .................ruisselle........ (qui ? ....... où ?..........)

 

 

2/ ..................s’embourbe............  (qui ? ....... où ?..........)

 

 

 

 

INVENTEZ

 

1/ Inventez deux phrases comprenant chacune un complément indirect qui répond à la question : où ?

 

2/ Composez trois phrases : Ma rue sous la pluie.

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 10:34


 

1/ Dans le texte suivant, relevez les noms, indiquez leur genre :

 

exemple  : pluie, genre féminin.

 

 

La pluie tombe infatigable, avec un bruit incessant de fontaine.On l’entend ruisseler sur les murs. Elle fouette les vitres. Elle coule dans les gouttières et dévale au ruisseau, le long des trottoirs. Elle inonde les rues.

 

 

 

 

2/ Ecrivez les trois premières phrases du texte suivant en mettant : La pluie s’écrase....

 

De gros paquets de pluie s’écrasent contre la vitre. Ils brouillent la vue. Ils noient la lande jaune. L’herbe pourrit sous les flaques. Le ciel n’est qu’un grand nuage et nos pieds s’embourbent dans la terre détrempée.

 

 

 

 

 

3/ Conjuguez la troisième phrase du texte en mettant : Je ne fais qu’un bruit léger....

 

La pluie froide et tranquille tombe lentement du ciel gris. Elle frappe mes vitres à petits coups. Elle ne fait qu’un bruit léger et, pourtant, chaque goutte retentit tristement dans mon coeur. Tout est muet. Les bêtes résignées se taisent. (Anatole France)

 

 

 

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 10:33


 

Verbe ALLER

 

Aujourd’hui

 

je vais

tu vas

il va

elle va

 

nous allons

vous allez

ils vont

elles vont

 

 

 

 

APPLIQUEZ

 

1/ Conjuguez au Présent

 

Je vais au marché.

 

Tu..... au marché.

 

Il....

Elle....

 

Nous...

Vous....
Ils.....

Elles.....

 

 


 

2/ Conjuguez au Présent :

 

Je vais en classe, je fais mes devoirs et j’apprends mes leçons.

 

 

 

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 10:31


 

IL Y A DEUX GENRES : LE MASCULIN ET LE FÉMININ

 

LES NOMS DEVANT LESQUELS ON MET «LE» OU «UN», 

LES NOMS D’HOMMES OU D’ANIMAUX MÂLES SONT DU GENRE MASCULIN

 

exemples : un ruisseau - Pierre - Médor

 

 

LES NOMS DEVANT LESQUELS ON MET «LA» OU «UNE», 

LES NOMS DE FEMMES OU D’ANIMAUX FEMELLES SONT DU GENRE FÉMININ

 

exemple : une averse, Pierrette, Minette

 

 

 

 

 

ETUDIEZ

 

1/ Un ruisseau, un tintement, le ruisseau, le tintement

 

Les noms devant lesquels on met le ou un sont du genre masculin.

 

 

2/ Une averse, la pluie.

 

Les noms devant lesquels on met la ou une sont du genre féminin.

 

 

3/ Pierre, Médor ; Pierrette, Minette.

 

Les noms d’hommes ou d’animaux mâles sont du genre masculin.

Les noms de femmes ou d’animaux femelles sont du genre féminin.

 

 

4/ François, Françoise  ; un marchant, une marchande.

 

On forme généralement le féminin d’un nom en ajoutant «e» au masculin.

 

 

 

 

APPLIQUEZ

 

1/ Lisez le texte suivant :

 

 

La pluie tombe

 

La pluie tombe, tombe avec un bruit incessant de fontaine ; on l’entend sans répit ruisseler sur les murs. Dans le vieux toit de mousse, il y a des gouttières qui, toujours aux mêmes endroits, infatigables, monotones, font le même tintement triste. Elles détrempent par places le sol du logis.

 

P. Loti (Pêcheurs d’Islande)

 

 

Faites deux colonnes

dans la 1ère écrivez les noms du genre masculin

dans la 2ème écrivez les noms du genre féminin

 

 

 

 

 

2/ Même exercice pour le texte suivant :

 

 

Sous la pluie

 

 

Un jour gris d’automne, dans l’une de nos promenades champêtres, un vent furieux se met à souffler. D’immenses nuages accourent vers nous ; de tous côtés, les grands arbres se penchent en gémissant sous les violents torrents d’eau que chasse la bourrasque.

 

Je n’ai que le temps d’emporter mon petit homme qui pleure de frayeur et je vais me blottir sous une haie épaisse. J’ouvre mon parapluie, je m’accroupis derrière, et, déboutonnant mon grand paletot, j’y fourre mon cher bébé qui s’y réfugie en me serrant bien près.

 

Mon doux ami commence à sourire du fond de sa chaude cachette.

 

«Est-ce qu’il pleut encore dehors, petit père ?

-Voilà que c’est bientôt fini, mon charmant camarade.

-Déjà, J’étais si bien dans toi !»

 

Nous rentrons à la maison, crottés comme des barbets et nous sommes grondés d’importane.

 

Mais, quand le soir est venu, que le bébé fatigué est couché et que je vais l’embrasser, il m’entoure le cou de ses deux bras dodus et me dit à l’oreille : «Quand il pleuvra, nous irons encore, dis ?».

 

Gustave Droz (Monsieur, Madame et Bébé)

 

 

 

 

3/ Ecrivez les noms suivants au féminin

 

un mendiant

un cousin

le marchand

le client

un Anglais

André

l’ami René

le villageois

un commerçant

le voisin Louis

un employé

un orphelin

un Français

un passant

un étudiant

un coquin

cousin

François

Armand

parent

Germain

Américain

Fernand

Chinois

 

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 10:30


 

Sous la pluie

 

 

Un jour gris d’automne, dans l’une de nos promenades champêtres, un vent furieux se met à souffler. D’immenses nuages accourent vers nous ; de tous côtés, les grands arbres se penchent en gémissant sous les violents torrents d’eau que chasse la bourrasque.

 

Je n’ai que le temps d’emporter mon petit homme qui pleure de frayeur et je vais me blottir sous une haie épaisse. J’ouvre mon parapluie, je m’accroupis derrière, et, déboutonnant mon grand paletot, j’y fourre mon cher bébé qui s’y réfugie en me serrant bien près.

 

Mon doux ami commence à sourire du fond de sa chaude cachette.

 

«Est-ce qu’il pleut encore dehors, petit père ?

-Voilà que c’est bientôt fini, mon charmant camarade.

-Déjà, J’étais si bien dans toi !»

 

Nous rentrons à la maison, crottés comme des barbets et nous sommes grondés d’importane.

 

Mais, quand le soir est venu, que le bébé fatigué est couché et que je vais l’embrasser, il m’entoure le cou de ses deux bras dodus et me dit à l’oreille : «Quand il pleuvra, nous irons encore, dis ?».

 

Gustave Droz (Monsieur, Madame et Bébé)

 

 

 

PARLER

 

1/ Quand l’histoire se passe-t-elle ? Qu’entendez-vous ? 

Répétez les deux premières phrases.

 


2/ Bébé est à l’abri : que fait «mon doux ami....» ?

 

 

3/ Racontez le retour.

 

 

4/ Le soir est venu : où est Bébé, fatigué ? que fait-il ? que dit-il à l’oreille ?

 

 

5/ Vous rappelez-vous une histoire qui vous est arrivée, un jour de pluie ? Essayez de la raconter.

 

 

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